Paris La Défense Arena accueillait pour la première fois de son histoire le MMA. Ce sport de combat qui cartonne dans le monde ces dernières années a frappé très fort pour ses grands débuts à l’Arena.
Quel bonheur de retrouver ce genre d’ambiance à Paris La Défense Arena. Après cette période difficile, en raison du contexte sanitaire, la salle a pu revivre l’émotion, les cris, la joie du public devant un événement. Et quel événement. Les grands débuts d’Hexagone MMA, première ligue professionnelle française de MMA.
La métamorphose de Paris La Défense Arena pour le MMA
Paris La Défense Arena, avec le MMA, retrouvait ainsi son âme de combattante, dix mois après sa grande soirée boxe et la victoire de Tony Yoka face à Johann Duhaupas. Et comme à chaque changement de configuration et à chacune de ses « transformations », la salle a fait forte impression, démontrant une nouvelle fois sa capacité à s’adapter à tout type d’événement pour offrir une expérience toujours aussi incroyable.
Pour sa grande première, Hexagone MMA avait donc voulu frapper fort : diffusion dans plus de 70 pays, un show son-lumières à l’américaine et une programmation alléchante de combats 100% français. De quoi enflammer tout au long de la soirée les spectateurs d’une Paris La Défense Arena surchauffée. Pour le combat vedette de la soirée, Gaël Grimaud, ancien champion du monde de cage-warrior, affrontait le Portugais Falco Neto. Et pour son premier combat depuis 2017, le Réunionnais a régalé le public parisien en s’imposant par soumission dès la première reprise. Devenant ainsi le premier champion du Monde Hexagone MMA des Poids Moyens.
« Combattre à Paris était un rêve »
« Combattre à Paris était un rêve », s’est alors réjoui le vainqueur après le combat. Gaël Grimaud l’a fait dans la plus grande salle d’Europe, à Paris La Défense Arena, pour du MMA. Devant un public peu nombreux, le contexte sanitaire ne le permettant pas encore. Mais ce retour du public dans la salle est déjà un beau début. Laissant présager des shows à plus grande jauges ces prochains mois. Espérons-le.